Maria Simma

Maria Simma est née en 1915 en Autriche.

Elle reçoit pendant son enfance une éducation religieuse. Le père Karl Fritz qui est son père spirituel l’accompagne dans ce chemin de foi. Plus tard, elle émet le souhait de prendre le voile.
Cependant les religieux du couvent du Cœur de Jésus à Hall au Tyrol lui disent « on vous le dit tout de suite, vous êtes trop faible pour nous ».
Sa santé est en effet mauvaise, enfant, elle a fait une pleurésie et une pneumonie.
Sa foi est pourtant pure !

Elle désire au plus profond de son cœur venir en aide aux âmes du purgatoire et donner sa vie à Dieu. Le deuxième couvent à Thalbach lui dit la même chose. Elle tente une autre tentative et rentre chez les sœurs franciscaines de Gossau en Suisse. Cependant la mère supérieure l’a refuse également. Cette étape est cruciale pour Maria Simma qui se sent abandonnée pense que Dieu ne souhaite pas pour elle une vie cloîtrée.

Quelques temps après, en 1940 Maria Simma reçoit la première révélation privée d’une sainte âme. Elle a quelques visites jusqu’en 1953 et c’est à partir de 1954 qu’elle reçoit la visite céleste chaque nuit d’une âme. Elle rendra grâce de ne pas être entrée au couvent et de pouvoir recevoir toutes ces confidences privées !
Maria Simma qui avait fait le vœu sincère à Notre-Dame d’être « une âme souffrante spécialement pour les pauvres âmes. ».
Par ses révélations privées, elle reçoit des exhortations sur beaucoup de sujets .
Les confidences de ces âmes des défunts lui donnent des pistes de réflexions, sur des sujets variés sur le ciel, les anges, sur la prière et le jeûne, la Sainte Messe, la prière du Rosaire, les lumbes, l’Enfer et Satan, la mort, la maladie, le mariage, l’éducation des enfants, la famille …
Maria Simma coiffée de son foulard, va parcourir les chemins, les villages autrichiens à la rencontre de paroissiens de différentes églises pour raconter son histoire, ses témoignages, son expérience de foi.
Un chemin compliqué et difficile parfois où elle est accueillie avec bienveillance dans certaines paroisses et dans d’autres paroisses, l’accueil et la compréhension sont plus compliqués.
Dans ses livres, Maria Simma avec des mots simples témoigne de toutes ses années où elle a accueilli les confidences des âmes du purgatoire jusqu’en 2002, deux ans avant son rappel à Dieu.