Maria Valtorta
Marie Valtorta est une visionnaire, elle est née en Italie le 14 mars 1897.
Son père est militaire et sa maman est professeur de français.
Sa maman n’apprécie pas la naissance de sa fille suite au décès d’un fils.
Maria Valtorta sera placée en nourrice. Elle sera élevée par les sœurs de marie Enfant à Monza. Elle reçoit le Sacrement de confirmation à 7 ans et fait sa Première Communion.
A cette époque, elle a un premier signe de vouloir s’identifier au Christ dans la douleur. En 1912, elle aura également une deuxième révélation dans ce sens.
Elle sera infirmière lors de la première guerre mondiale. Elle sera frappée par un anarchiste sur les lombaires, une infirmité apparaitra avec de fortes douleurs à la colonne vertébrale.
Elle revient vivre chez ses parents et s’engage dans sa paroisse et dans l’action catholique. Sa santé devient très mauvaise et elle est obligée de rester aliter.
Pendant cette période elle prend le temps de lire des ouvrages qui l’inspirent.
Elle découvre les écrits de saint Luc, de Thérèse d’Avila, Catherine de Sienne, Jean de la Croix, Thérèse de Lisieux, Gemma Galgani, Marie d’Agreda.
Maria Diociotti qui est une bonne amie sera présente presque tous les jours et l’assistera aussi bien dans la rédaction de ses écrits, et aussi dans sa vie de chaque jour.
Le servite Romualdo Migliorini est appelé à ses côtés comme directeur spirituel. Celui-ci l’incite à écrire une autobiographie.
A partir de 1943, Maria Valtorta est alitée et prise de fortes souffrances et de douleurs. Elle souhaite donner sa vie à cet amour pour Dieu. Elle commencera à mettre par écrit ses visions et ses paroles intérieures, elle dit écrire « sous la dictée de l’Esprit Saint ». Sa première vision arrivera le jeudi saint.
Et jusqu’à l’année 1947, elle aura écrit sans ratures, 15000 pages de révélations sur la Passion et la vie du Christ, son amie Maria Diociotti l’aidera à mettre en page les 122 cahiers.
